Une consommatrice nous contacte suite à l’achat d’un blouson en cuir de marque, sur un site marchand au Royaume-Uni (www.3amoto.com). A la réception de celui-ci, elle constate qu’il s’agit d’une contrefaçon, renvoie donc le blouson au vendeur et demande bien sûr le remboursement. Plusieurs mails restent sans effet mais elle constate que le blouson a, quand même, disparu du site du vendeur. Elle prend contact avec nous pour nous demander d’intervenir ce que nous lui proposons en lui demandant d’adhérer : rappelons que nous ne pouvons intervenir auprès d’un professionnel que pour nos adhérents. En réponse à cette proposition, elle nous fait savoir que son dernier mail, adressé au vendeur, dans lequel elle lui révélait qu’elle allait faire appel à nos services en expliquant au vendeur qui nous étions (au cas où notre notoriété n’ait pas franchi la Manche !), a déclenché un résultat positif puisque le prix du faux blouson lui a été remboursé. Est-ce la peur du « gendarme UFC » ? Peut-être ? Dommage que la consommatrice n’ait pas, vu le résultat, daigné adhérer à la « gendarmerie ». Et pour conclure, ce litige, typique des achats sur internet, est l’occasion de vous rappeler nos « dix commandements » pour des achats en ligne. |