Dans un premier temps la SNCF reconnaît le retard sur l'arrivée à Bordeaux et propose une indemnisation de 25% du prix de ce billet, qui, de plus, n’est qu’une partie du voyage. Notre adhérente refuse et nous adressons un courrier à la SNCF. En reprenant très précisément toutes les péripéties du voyage, nous lui demandons l'indemnisation prévue pour un retard supérieur à 3 heures c'est à dire 75 % du prix du billet. La SNCF s’exécute rapidement et rembourse la somme prévue dans ses CGV. Remarque : il est à noter que le motif invoqué sur le bon de retard pour justifier celui-ci est « colis suspect » alors qu’à aucun moment ce motif n’a été annoncé dans le train durant le voyage. |