En Février, notre adhérent prend possession chez Renault d’un véhicule d’occasion. Ce véhicule est accompagné d’une garantie de 3 mois auquel notre adhérent, moyennant 335€, rajoute une garantie complémentaire dite « Garantie Mécanique » de 15 mois.

6 semaines plus tard et après 2400 km d’utilisation, le véhicule tombe en panne en Lozère. Diagnostic Renault : casse moteur, coût de la réparation : près de 3500€.

 
Renault refuse de prendre en charge la panne en garantie tant qu’un expert ne se sera pas prononcé.

A la mi avril, dans son rapport, l’expert de l’assurance de l’adhérent confirme que la casse moteur n’est pas due à une mauvaise utilisation du véhicule. Renault fait alors procéder aussitôt à une expertise contradictoire…

A la mi-juillet (soit 3 mois après la contre-expertise) l’expert nommé par Renault n’a toujours pas rendu son rapport, le véhicule est toujours immobilisé et notre adhérent ne parvient pas à joindre un responsable.

 
Lassé par cette lenteur de réaction et cet immobilisme, notre adhérent contacte l'association locale de Montpellier de l'UFC Que Choisir. Ne parvenant à joindre téléphoniquement ni le Directeur du garage ni les Chefs de Service concernés, celle-ci leur adresse une lettre recommandée avec accusé de réception (LRAR) argumentée avec copie, d’une part à la Direction à laquelle est rattaché le garage, d’autre part au Service Relation Clientèle.

48h après la réception de la LRAR, Renault adresse à notre adhérent un mail dans lequel il lui indique lui rembourser le véhicule.