Notre adhérent achète un véhicule HYUNDAI neuf auprès d’un concessionnaire en juin 2020. Après avoir fait constater plusieurs fois, un dysfonctionnement dans le moteur, il reçoit comme réponse que le concessionnaire ne sait pas le réparer et un véhicule de remplacement lui est proposé le temps de faire étudier le problème par le constructeur. Mais malgré les relances de notre adhérent, rien ne se passe durant de longues semaines et il doit utiliser le véhicule de prêt qui ne correspond pas à ses besoins.

Après quelques échanges avec notre adhérent dont un courrier que nous lui rédigeons pour faire valoir ses droits, nous finissons par contacter directement le concessionnaire en lui demandant de préciser sous 15 jours les actions qu’il compte mettre en place pour résoudre définitivement cette situation. Il lui est rappelé qu’en tant que garagiste il a une obligation de résultat et que de plus, si la réparation s’avère impossible, il doit au titre de la garantie légale de conformité remplacer ou rembourser le véhicule.

En réponse, le concessionnaire propose de remettre à notre adhérent le même véhicule, neuf et avec des équipements supérieurs (ce qui peut être considéré comme une compensation des désagréments subis). Notre adhérent accepte et peut enfin utiliser le véhicule qu’il avait choisi, ayant une valeur de près de 30.000 €.