Mme B. signe un contrat Internet chez Orange le 10 mars 2014. Ce Fournisseur d’Accès à Internet est mandaté pour assurer la résiliation auprès de Free, fournisseur précédent, ainsi que la portabilité du numéro de téléphone.
Le changement de fournisseur est effectif le 27 mars 2014 et dès le mois d’avril, à la demande de Free, Mme B. renvoie le matériel par la poste. |
Tout semble en règle sauf que Free continue les prélèvements jusqu’en août (178,97€). Le 14 septembre, notre adhérente envoie une lettre de réclamation à ce fournisseur. Ce dernier répond le 22 : la résiliation aurait été demandée pour le 1er octobre et le matériel n’aurait pas été rendu. 2/10 : Mme B. paie les frais de résiliation auprès de Free. Les lettres de relance continuent à affluer à son domicile : 25/10 : Free évoque la possibilité d'une facturation de l’équipement non rendu de 400€. 16/11 : Free envoie un dernier avis avant facturation de 519,98€ si le matériel n'est pas rendu. 19/11 : appel à régularisation impayé en provenance du département de recouvrement amiable. Montant de 89,48€, dette qui serait due par Mme B. 10/12 : nouvelle relance pour un montant de 150€, pénalités pour non restitution de matériel. 31/12 : Mme B. ayant effectué une réclamation par l'intermédiaire de l'ARCEP, Free accepte de rembourser les abonnements indûment perçus (121,54€), remboursement assujetti au renvoi du matériel. Free maintient la pénalité de 150€ et demande à Mme B. de bien vouloir renvoyer le matériel !!! |
Le 13 janvier 2015, Mme B. confie le dossier à un conseiller de l’UFC Que Choisir de Montpellier. L’affaire est réglée au bénéfice de notre adhérente le 17 février 2015 : le matériel avait bien été restitué mais non enregistré par Free...
Mme B. : «merci pour tout, votre intervention a été efficace.» |