Litiges résolus
Une lettre de menace de plainte auprès du tribunal fait plier CWI Distribution
![]() En janvier, un courrier de CWI Distribution (assurance de Visa Premier) l’informe, sans aucune explication, qu’un virement de 734€, pour solde de tout compte, a été opéré sur son compte. Pas d’accord avec la somme remboursée notre adhérent adresse aussitôt une LRAR à CWI Distribution pour obtenir des explications. Cette lettre restera sans réponse. |
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Notre adhérent contacte alors l'UFC Que Choisir de Montpellier. Le courrier de notre adhérent étant très bien fait, l'association de consommateurs se contente de le renvoyer à CWI Distribution avec une lettre d’accompagnement à son entête précisant que sans réponse de leur part une plainte sera déposée devant le Tribunal compétent.
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LDLC voulait oublier le délai de 3 jours pour émettre des réserves
BPPC rembourse les 2800€ indûment prélevés 2 mois avant la fin du délai de prescription
![]() BPPC ajoute dans les conditions particulières de l’offre de prêt une rubrique « indemnité de remboursement anticipé » précisant qu’aucune indemnité de remboursement anticipé total ou partiel ne sera prélevée sauf en cas de rachat par un autre organisme financier. En janvier 2014 notre adhérent procède au remboursement anticipé des 17.000€. Suite à ce remboursement, BPPC prélève sur son compte 2.800€ de frais de remboursement anticipés. |
Notre adhérent adresse alors à BPPC plusieurs mails et lettres recommandées avec accusé de réception (LRAR) qui resteront sans réponse. Il contacte alors l'UFC Que Choisir de Montpellier. |
L'UFC Que Choisir Montpellier rappelle à BPPC, dans une LRAR, l’offre de prêt signé et ce que prévoient les conditions particulières. Cette LRAR restera elle aussi sans réponse. Convaincu que BPPC fait trainer les choses pour pouvoir invoquer le délai de prescription, l'UFC Que Choisir Montpellier fait déposer par l’adhérent une déclaration au greffe et en informe BPPC dans une seconde LRAR. |
Une semaine plus tard et 2 mois avant que le délai de prescription soit atteint, BPPC rembourse à notre adhérent les 2800€ indûment prélevés. |
La menace de plainte fait plier Norauto
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2200 km plus tard, alors qu’il circule sur l’autoroute, le conducteur ressent une gêne au volant, il s’arrête et constate alors que les 2 pneus avant sont usés sur la partie intérieure de la bande de roulement jusqu’à la toile métallique. Il contacte Norauto qui lui demande de venir présenter le véhicule. |
Norauto admet alors l’usure anormale mais refuse de prendre à sa charge leur remplacement prétextant une mauvaise utilisation du véhicule. Face au danger que présente l’usure des pneus notre adhérent fait aussitôt procéder à leur remplacement par un garage concurrent et alerte l'UFC Que Choisir de Montpellier. |
L'UFC Que Choisir Montpellier rappelle à Norauto son obligation de résultat et de sécurité, ce qui n’émeut pas Norauto. L'UFC Que Choisir Montpellier menace alors Norauto de dépôt de plainte devant de juge de proximité et devant la DGCCRF.
Finalement Norauto rembourse à notre adhérent les pneus incriminés, leur pose et le parallélisme.
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Les arguments pertinents fournis par l'UFC ont été déterminants
Le 27 novembre, un problème de santé contre-indique formellement un voyage en avion à notre adhérent. Malgré la fourniture d’un dossier médical argumenté, l’assurance voyage refuse de rembourser leur client prétextant l’existence d’une maladie chronique. Notre adhérent a eu gain de cause après l’intervention de l’UFC-Que Choisir Montpellier qui a dû argumenter pour convaincre l’assurance qu’il s’agissait d’une aggravation de santé non prévisible et non une pathologie antérieure. |